Les parcours de Paul et Alex se ressemblent en tous points : une formation au conservatoire, des séjours à New York pour apprendre auprès des maîtres du jazz, et des nuits passées à écumer les jam sessions de Paris. Après leur arrivée dans la capitale, ils se font vite remarquer pour leur musicalité et leur professionnalisme, et tournent rapidement en France et à l'étranger avec Charles Turner, Eyal Vilner, Galaad Moutoz, Dmitry Baevsky, Julian Lee, Fabien Mary, Laurent Courthaliac, Champian Fulton, Logan Richardson, Jason Palmer, David Sauzay, Stéphane Belmondo, Alain Jean Marie, et bien d'autres.
C'est au cours d'une de ces tournées que l'idée leur vient de rassembler leurs projets au sein d'un collectif qui permettrait de fédérer et d'utiliser un vivier de jeunes musiciens talentueux pour développer et promouvoir leurs différentes idées artistiques. L’envie d'un premier album naîtra de la conjonction de ces rencontres, de leur passion pour le swing et le bebop, de leur amitié et...d’une pandémie mondiale. Au cours de ces longs mois sans concerts, ils vont chercher à transformer ce temps en une énergie salvatrice pour penser “l’après”, et donc composer, et sortir de leur rôle habituel de sidemen. Paul et Alex vont commencer durant l'été 2021 à animer la fameuse jam session du Duc des Lombards, et rassembler autour de ce rendez-vous mythique la communauté des jeunes musiciens de jazz parisiens. En assurant la rythmique derrière différents invités chaque semaine, ils développent ce noyau dur qui fera d'eux le centre de gravité du groupe et du collectif Danger Zone. Émanation de ce collectif, le quintet Danger Zone regroupe aux côtés des deux amis le trompettiste et chanteur Björn Ingelstam, le pianiste Amaury Faye et le saxophoniste Michel Pastre. Invitée spéciale de ce premier opus : la brillante chanteuse anglo-australienne Hetty Kate, bien connue des scènes swing du monde entier.
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